Chapitre 18 : Baisé Comme Une Pute…Et La Femme Du Cavalier Cocu.

Traversée du désert affectif et sexuel. (2/4)
Voilà la suite du chapitre 17 et de ma traversée du désert affectif et sexuel, pendant cette période, j’ai eu un comportement sexuel particulier avec des pratiques sexuelles « hors normes », des pratiques sexuelles déviantes, m’exposant à des risques insensés.
Après avoir quitté le domicile de Christine, la pharmacienne Rouennaise, et un retour à la maison ou je me pose beaucoup de questions, j’entame une longue période de doute et de plaisir solitaire, et d’expérimentations de pénétrations avec des fruits et légumes…Concombre, carotte, banane, c’est fou, je ne me contrôle pas quand j’ai des envies subites…
Et puis un dimanche, après le noël 1999, je suis seul à la maison, mon fils est en vacance chez les parents de Marie, petit plaisir solitaire, sodomie avec divers objets, mais j’ai énormément de difficultés à jouir… J’ai une envie subite, inopinée et irrépressible de sexe…
Petit tour sur mon site de rencontre, je discute avec plusieurs hommes, mais dans cette période, ils sont peu nombreux.
Mais deux mecs cherchent une fille, même une « pute », ils sont prêts à payer, mais ils ne veulent pas de mec, en cette période de fête, il y a peu de monde pour eux également ce dimanche soir, ils me relancent donc un peu plus tard.
Je suis dans une telle détresse affective et sexuelle que j’accepte de les rencontrer à Rouen, à une heure de route de mon domicile.
J’arrive à leur point de rendez-vous à une heure assez tardive, dans une zone très isolée.
Un SUV Mercedes attend avec les phares allumés, j’avoue que je ne suis pas très rassuré, et être vraiment inconscient, mais j’ai tellement envie, cette envie qui vous fait faire n’importe quoi.
En arrivant, le conducteur me fait des appels de phares, je me stationne, la porte arrière droite s’ouvre, l’homme à l’arrière me demande de monter à l’arrière avec lui.
Rapide présentation en même temps que la voiture démarre, les deux hommes doivent avoir la soixantaine, j’ai 43 ans, ils sont étonnés qu’un type plutôt bien foutu comme moi ai ce besoin de bites et de se faire enculer, c’est leurs expressions…
Ils n’aiment pas les pédés, mais comme ils ont rien trouvé, c’est une première pour eux.


- Tu suces et tu avales alors ? Me demande mon voisin de la banquette arrière.
- Euh !!! oui…
- Et on peut t’enculer tous les deux sans préservatif ? Me demande le conducteur.
- Oui, mais je préfère que vous vous protégiez…
- Nous on veut jouir dans ton cul de tapette, ça te va ? Répond mon voisin.
- Ben !!!
- Mets-toi à poil, salope et commence à sucer mon ami. Me dit le conducteur.
Je suis dans un tel état d’excitation, je transpire, je dégouline, j’ai de belles sensations au niveau de ma rondelle, elle sait que ce soir ça va être sa fête.
Je suis maintenant à poil, dans une voiture qui roule dans la ville de Rouen, il doit être 23h30, un dimanche 26 décembre, avec deux inconnus que j’ai rencontré, il y a à peine 10 minutes, peut-être moins.
Mon voisin baisse son pantalon, avec les lumières de la ville, je peux découvrir la belle marchandise du sexagénaire, il est franchement bien équipé.
- Bien, toi c’est Éric…Suces-moi un peu, fais-moi voir que tu aimes la bite avant que l’on arrive et qu’on s’occupe vraiment de toi.
Je ne me suis pas fait prier, j’ai commencé, à bien caresser, léché et sucé l’ami, c’est bon pour moi et pour lui car il gémit déjà…
- Ah, la salope, elle est douée…Alberto !!! C’est une bonne pute, on va se régaler ce soir, tu peux aller au parking !!!
- Je t’ai toujours dit que l’on devait essayer les pédés !!!
Je continue de le sucer, son sexe est agréable en bouche, il sent bon, je me régale, la voiture descend dans un parking souterrain, se stationne dans un coin, à l’extrémité de celui-ci pour être tranquille.
Nous serons régulièrement dérangés par des véhicules allant et venant, sans que cela arrête nos ébats.
Le conducteur baisse son pantalon également et j’entreprends de le sucer, la position n’est pas facile, car l’autre me fait écarter les cuisses, les cuisses bien ouvertes, je n’ai pas besoin de lubrifiant, car je dégouline comme une salope, et en plus j’ai joué avec mon cul tout l’après-midi, les concombres ont bien dilaté l’entrée des artistes.

Renato, m’emboite bien comme il faut, en me tapant à fond dans le cul.
- La salope, c’est une entrée de métro !!! Ton cul de pédé a dû en prendre de la bite, mais c’est bon !!!
Pendant ce temps, j’en ai plein la bouche, remplie par le gourdin d’Alberto qui m’arrive dans la gorge, presqu’à me faire vomir, je lui dévore ses couilles, Renato me ramone toujours avec sa grosse bite devenue un vrai engin mécanique tant les coups sont réguliers et puissants, je voulais me faire enculer, mais là, c’est une vraie défonce, il me démonte le cul jusqu’à ce que mes deux lascars m’explosent dans mon cul et dans ma bouche m’inondant de leurs foutres.
J’ai hurlé de plaisir mais aussi de douleurs, les cris étant amplifiés par la petite hauteur du parking en béton.
- Tu couines ma lopette, t’es une bonne pédale toi. Me dit Renato.
C’est la première fois de toute ma vie que je me fais traiter ainsi, je pense en rester là, mais Alberto, veut également me défoncer le cul, il sort une couverture de sa voiture, me fait allonger, ce n’est pas confortable, je leurs fait remarquer, ils me positionnent sur le côté, une jambe levée pour bien écarter mes fesses, je me laisse faire, docile, j’ai encore envie, Alberto m’astique virilement, c’est bon, mon cul est bien élargi, Renato glisse un objet, certainement un sex-toys, c’est la première que j’accueille une bite et un engin de bon calibre en même temps dans mon cul de salope, mais Renato n’est pas doux, les mouvements ne sont pas coordonnés, Alberto apprécie, Renato, ne débande pas, il se branle, puis m’asperge le visage de son sperme, mélangeant les gouttes de sueur à son nectar.
- Tu aimes ça, ma salope, tu aimes nos queues, tu aimes en prendre plein ton cul !!!
Je ne peux répondre, tellement je suis violenté, avec toujours mes deux objets dans le cul, je ne peux dire qui du sexe d’Alberto ou du jouet me font le plus mal, mais c’est bon, j’ai un nouvel orgasme d’une puissance extrême.
Alberto veut éjaculer une deuxième fois comme son ami, il s’énerve, il est hystérique, il explose enfin dans mon cul complètement défoncé, jamais je n’ai été aussi défoncé.

- Tiens, le pédé, prends toi ça dans le cul, tu vas te souvenir d’Alberto….
- Ça, c’est sûr, vous m’avez bien chauffé la rondelle…
Je n’ai pu répondre que cela, je suis crevé, dégoulinant de sueur, toujours allongé par terre, mes deux compagnons ont remonté leurs pantalons prêts à repartir.
- Tu restes là, à poil le pédé ?
- Non, attendez !!! Soyez sympa…
La voiture démarre, je monte rapidement, je suis dégoulinant de partout, j’ai du sperme sur le visage, et plein le cul, je n’ai pas mes affaires, je suis toujours à poil, la voiture s’arrête, me dépose près de ma voiture, toujours à poil, finalement.
Ils ont tourné en rond à l’aller, car mon lieu de stationnement est proche de l’endroit où ils ont bien profité de moi. La voiture s’arrête et ils me demandent de descendre…
Ce que je fais rapidement car j’ai encore beaucoup de mal à retrouver mes repères après un tel traitement.
- Merci pour tout…comme tu es une bonne pédale, je te rends des « fringues »….Me lance Renato.
Ils redémarrent très rapidement car ces messieurs sont pressés de rentrer retrouver leurs épouses, ils sont déjà en retard et ont peur de leurs réactions.
Pour ma part, je récupère mes habits lancés de la vitre avant par Renato.
Toujours à poil, et dégoulinant partout de leurs foutres, je fais les quelques mètres pour regagner ma voiture garer sous un pont, mes affaires récupérées, roulées dans mes bras, lorsque deux clodos apparaissent, et viennent un peu m’embêter…
- C’est un pédé, on va jouer !!!
J’avoue avoir un peu peur, car ils semblent bien alcoolisés et violents, je vais me rhabiller un peu plus tard, il me manque mon string, à l’époque pour ce genre de rendez-vous, j’aimais porter des strings, il me manque également mes chaussettes…
Je reviens chez moi, bien défoncé, satisfait tout de même car j’ai eu ce que je voulais, voire plus, mais inquiet car j’ai encore fait n’importe quoi, pas de protection avec des inconnus.

C’est évidemment un risque inouï que de se faire prendre par des inconnus sans protection. Comme me l’a écrit « Olga T » que je remercie au passage pour ses commentaires et pour l’ensemble de ses parutions, cela s’apparente à la roulette russe.
Mais elle m’a aussi précisé, qu’étant Hypersexuelle, elle me comprenait ayant souvent réagi de la même façon quand elle était en manque. Avis partagé par Caroline, ma seconde épouse.
Je suis conscient des risques pris, ces types à cette heure tardive, pouvaient être beaucoup plus pervers encore et même dangereux. Mais c’est un besoin à cette période.
Pendant deux ou trois mois, je me tiens tranquille, ma dernière expérience fut hard, et j’avoue avoir ensuite bien flipper.
Et puis, je me reconnecte sur le site, une annonce me paraît intéressante.
Au début des années 2000 les sites de rencontres étaient moins évolués que maintenant, mais nous nous en accommodions.
Donc bref échange, avec une jeune femme havraise de 33 ans, à cette époque je viens d’avoir 43 ans, nos échanges sont riches, nous décidons de nous rencontrer au Havre.
Nous prenons un verre ensemble, c’est une jolie brune, avec un joli visage, très grande, au moins 1.76m, mais un peu forte. Elle est célibataire, maman d’un petit garçon de 11 ans dont le papa est le chef de service de Laurence, (son prénom) à la mairie du Havre. Le chef de service est marié, deux s, bien plus âgé qu’elle, la cinquantaine bien tassée, il lui promet depuis 12 ans de divorcer et de la rejoindre, mais il a toujours une bonne excuse pour rester avec sa tendre épouse.
Le courant passe bien entre nous, je l’invite à déjeuner, puis Laurence me demande si je veux passer chez elle. J’avoue franchement que comme pour la pharmacienne de Rouen, Laurence ne m’excite pas terriblement.
Mais j’accepte, je me retrouve dans un joli appartement, bien aménagé et décoré avec goût.
Laurence m’avoue en me faisant comprendre de façon direct qu’elle à très envie de sexe, donc elle m’avoue avoir eu simplement deux hommes dans sa vie, un premier petit copain, et son chef qui a une emprise incroyable sur elle.
Nous allons baiser tranquillement, Laurence est du genre classique, pas de fellation, pas de sodomie, et au niveau position, j’ai eu beaucoup de mal à lui faire accepter la levrette.
Par contre, elle embrasse bien, et branle fort comme un mec. Son chef aimant être branlé âprement. D’ailleurs pendant la relation, son chef reviendra souvent dans les échanges.
Le point positif pour moi, je n’ai pas rencontré de problème d’érection, l’ombre de Marie est toujours présente mais je me suis de nouveau lâché avec une femme.
Malgré les multiples relances de Laurence, je ne donne pas suite, elle est bien trop sage pour moi, physiquement je n’ai pas d’attirance particulière et puis son chef est bien trop présent dans sa tête.
J’entame une nouvelle période d’abstinence, je m’adonne de nouveau aux plaisirs solitaires ou je m’encule, et je me lime le cul du mieux que je peux. Je prends mon pied et je me bourrine jusqu’à cracher mon jus, c’est un pur plaisir.
Et puis comme d’habitude, j’ai une envie particulière peut être trois mois après la précédente rencontre, je me reconnecte. Je remarque un profil intéressant, la personne répond, c’est une femme mariée délaissée.
Après de longs échanges nous décidons de nous rencontrer, avec une particularité de taille, Catherine, c’est son prénom habite à 500 mètres à vol d’oiseau de mon domicile. Mais je ne l’a connais pas. Elle m’a soit disant souvent croisé au marché du dimanche matin, et elle avait flashé sur le beau veuf qui avait l’air bien triste.
C’est le pur hasard que nous nous soyons rencontrés via le site de rencontre. Donc, Catherine, est une petite blonde, plutôt poupée « Barbie », mignonne physiquement, un peu petite, très, très apprêtée, vêtue avec goût, elle a 38 ans, une petite fille, elle est institutrice dans un village à 10 kilomètres où il n’y a qu’une classe. Elle est donc mariée, avec un champion d’équitation de haut niveau, il pratique le concours complet individuel, il a participé à plusieurs championnats du monde et à deux JO.
Il possède un grand centre équestre, enfin il est très occupé. Mais il ne possède pas le permis poids-lourd, et c’est « la Poupée Barbie » qui pilote les gros camions de l’écurie, ce qui est surprenant de la voire si féminine au volant de ces mastodontes.
Donc première rencontre pour faire connaissance, à l’orée d’une forêt près de chez nous.
Catherine est intéressante, plaisante beaucoup, elle est très bavarde, elle n’a jamais trompé son mari, mais pour elle ce n’est plus possible, elle passe à côté de sa vie.
Elle doit réagir, elle souhaite rencontrer un homme libre, physiquement agréable, doux, attentionné et grand si possible, et oui, les petites femmes aiment toujours les grands mecs.
Puis Catherine me regarde toute excitée et m’invite à l’embrasser sur la bouche. Nous ne nous connaissons à peine, mais nous pourrions passer pour un couple fou amoureux. Manifestement elle a un besoin urgent de sexe, car son mari occupé par les compétitions ne la touche plus, ne la voit plus, c’est devenu la mère de sa fille d’après Catherine.
Nous nous enlaçons et nous embrassons avec fougue en nous roulant des pelles. Catherine est une experte en la matière, elle sait bien jouer avec sa langue.
Je lui déboutonne sa robe, elle se laisse faire, défait son soutien-gorge puis je fais sortir ses seins fermes aux gros tétons.
Catherine à une très belle poitrine.
Je commence à téter ses seins comme un bébé.
Catherine ne reste pas passive longtemps.
Elle passe ses mains douces sur mon visage puis très vite ouvre ma braguette.
Pour une fois, je suis en forme, et j’ai une bonne queue bien dure qui émerge entre mes cuisses.
Catherine caresse mon sexe et mes boules, je m’allonge sur la banquette.
Puis, elle commence à sucer ma bonne queue, qui réagit bien au travail de la petite poupée « Barbie », elle me fait gémir.
Elle est douée et appliquée, manifestement elle aime la bite.
Après un bon quart d’heure de succion, Catherine se détache de mon sexe, enlève entièrement sa robe et son petit string blanc.
Elle m’invite à passer vers la banquette arrière pour plus d’espace.
Catherine est très excitée, et semble pressée, elle se met en levrette, me présentant son derrière.
Quel spectacle ! Elle a un magnifique cul.
Puis je me place derrière elle, le sexe dans la main, que j’oriente vers l’entrée du vagin lubrifié de Catherine.
Elle mouille la salope.
Elle dandine du cul pour me montrer son impatience.
Sans aucun problème, je glisse mon sexe en elle, ça rentre comme dans du beurre.
Elle pousse un : « oh oui, oh oui, qu’est-ce que je suis en train de faire ».
Le fait de bien comprendre qu’elle cocufie son mari pour la première fois, m’excite encore plus.
Je commence à bien labourer cette belle petite chatte bien soignée, avec une belle épilation en forme de cœur.
Catherine gémit comme une jeune mariée qui se fait baiser par son mari pour la première fois.
Elle baise bien, accompagnant mes mouvements de va et vient, elle veut vraiment sentir ma bite au fond d’elle, elle a les bons réflexes, les bons gestes, les bons mouvements d’une bonne baiseuse.
Après une vingtaine de minutes de va-et-vient, je tremble de plaisir, je crie, même j’hurle tant le pied pris est énorme.
J’ai joui en giclant des quantités énormes de sperme sur ses fesses de petite salope.
Il y a très longtemps que j’avais pris autant de plaisir.
Catherine, qui a joui plus de trois fois, reste accrochée au siège arrière pour reprendre son souffle.
Elle m’a avoué avoir du mal à résister à mon endurance « retrouvée ».
Que je suis un bon amant.
Après avoir repris nos forces, nous nous sommes rhabillés, nous nous sommes encore enlacés et embrassés, Catherine ayant beaucoup de mal à me quitter.
Nous décidons de nous retrouver rapidement, Catherine me précise qu’il y a une possibilité au-dessus de sa classe, c’est un ancien appartement de fonction inoccupé, et elle va s’arranger pour l’aménager pour pouvoir nous accueillir…
J’arrive donc un soir après la classe, il y a une entrée par l’arrière, et Catherine m’a demandé de stationner ma voiture très loin de l’école, car sa « belle maman » semble la surveiller.
Dès que nous nous sommes retrouvés dans la classe, elle m’enlace et m’embrasse, me précisant qu’elle ne pense qu’à moi et à notre dernière relation tant appréciée.
Nous montons dans l’appartement aménagé sommairement.
Elle se jette sur mon sexe.
Elle ouvre ma braguette et descend mon pantalon puis mon caleçon.
Mon engin apparaît devant elle en pleine forme, déjà suffisamment gros pour la pénétrer, sans qu’elle l’aide à durcir avec sa bouche ou ses doigts.
De son côté, je devine qu’elle mouille déjà comme une vraie chienne en chaleur.
Elle me dit qu’elle été rarement aussi excitée.
Qu’elle veut vivre un grand moment dans sa vie sexuelle.
Je lui avais précisé lors de notre dernière rencontre que j’appréciais particulièrement la sodomie, que j’avais toujours sodomisé mes « femmes »…
- Éric, j’ai envie d’être prise par derrière !!!
- C’est-à-dire ?
- Je veux être sodomisée pour la première fois, prise par le cul, enculée, si tu préfères !!! Je veux te faire ce cadeau, tu comprends Éric !!!
Nous n’avions pas beaucoup de temps devant nous mais ça suffisait pour assouvir le besoin qui me tenaillait.
J’avais dans l’idée de la baiser tout à fait classiquement, vite fait, bien fait, mais les évènements se sont déroulés d’une façon imprévue.
Je l’ai donc retournée contre le bord d’un canapé sur lequel elle a plaqué ses mains.
Très vite, je lui ai frotté le gland de mon sexe entre ses cuisses et taper contre sa chatte. Mais je ne suis pas entré en elle.
Je me suis contenté de tremper mon nœud juste à l’orée de sa chatte, simplement pour bien l’humidifier.
Puis je lui ai tartiné son œillet avec le bout de ma bite.
J’ai aussi pris un peu de mouille avec mes doigts, par devant, puis les a fait glisser entre les globes de son cul, jusqu’à son petit trou.
Quand elle comprend… C’est presque déjà fait.
Je suis doux avec elle et attentionné, je lui demande si c’est supportable, elle me fait signe que oui et me demande de continuer.
Apparemment elle ne ressent aucune douleur particulière lorsque mon champignon rose se fraie un passage dans son orifice anal.
Elle veut vraiment être pénétrée, elle pousse sur son sphincter comme pour aller aux toilettes.
Cela facilite grandement l’introduction de mon membre « en pleine forme » jusqu’au fond de son ventre.
Elle va m’avouer après le rapport avoir lu des histoires de sodomies et regardé des films avec des rapports anaux pour pouvoir mieux réagir et appréhender la chose.
Je commence rapidement à faire des allers et retours dans son rectum, calmement au début, ma « petite poupée Barbie », gémit et semble plutôt apprécier.
En même temps, je lui fouille bien sa chatte ouverte dégoulinant de mouille d’une main. La vicieuse n’est pas en reste, elle me tâte les bourses pendant tout le temps que va durer son défonçage de cul.
J’accélère progressivement le rythme, en lui demandant si c’est bon pour elle, elle me fait toujours un signe positif de tête, que c’est bon de prendre un petit cul bien serré.
J’accélère toujours, encore plus fort, Catherine gémit, hurle, est-ce de plaisir ou de douleur ou les deux ?
Mais à ce moment précis, je ne pense qu’à mon plaisir, j’accélère, je la pilonne comme un fou, comme si j’étais possédé par une force surhumaine, je lui défonce vraiment le cul, jusqu’à ce que mes couilles se libèrent en elle.
L’expérience fut un peu courte à mon gout, car j’ai joui trop brutalement dans son cul bien étroit.
Je lui ai ensuite tendu ma tige et elle me l’a sucé avec gourmandise, avec la technique « de la petite chatte » pour commencer, puis bien profondément, comme j’aime. Elle m’a regardé avec une mine coquine pour me faire comprendre qu’elle a bien apprécié le moment ! Pas gênée par le goût amer de mon sperme mélangé aux odeurs de son petit cul bien propre.
- Alors, tu as aimée ?
- Pour être honnête, oui, c’est trop bon, mais j’ai du mal à exprimer ce que j’ai ressenti, mon cerveau étant empli d’un épais brouillard, ma vue trouble et toutes mes sensations mélangées !!! Mais chéri, cette première sodomie va me laisser un souvenir mémorable, ça j’en suis sûre…
- J’en suis ravi… Et nous nous embrassons.
- Et je peux te dire que j’ai adoré ça, me sentir remplie par ton gros sexe bien gorgé de foutre, mes fesses bien ouvertes par ton marteau piqueur, mon ventre plein de ton gros gland qui me pistonnait. Je fais partie du club des « enculées » de monsieur Éric !!!
- Club très fermé, mais tu es à minima sur le podium, tu as assuré pour une première…
- J’ai hâte de recommencer chéri, je veux te faire plaisir !!!
Notre relation dure environ deux mois, avec une vingtaine de rencontres, nous avons même baisé une fois dans leur lit conjugal, car il y avait des travaux dans son école, et Catherine a modifié le lieu de rendez-vous, ne voulant pas remettre notre rencontre tant attendue.
C’est très jouissif de cocufier le mari de Catherine dans son propre lit, ce jour-là, j’étais déchaîné, et je ne sais pourquoi, mais elle aussi, surtout lors de la « traditionnelle » sodomie…
Et puis, un soir, à la maison, la sonnette retenti, mon fils va ouvrir, mais c’est pour moi. C’est le mari de Catherine, très classe, poli, calme, qui me signale qu’il est au courant de tout, qu’elle lui a tout avoué.
Il me demande de cesser de la voir, me demande si je l’aime vraiment, si je souhaite refaire ma vie avec elle…
De bien réfléchir, que je risque de briser un couple, de troubler la vie de leur petite fille.
Si c’est sérieux pour moi, il peut comprendre, il a délaissé sa belle épouse, il peut s’effacer, mais je dois prendre mes responsabilités.
Je lui demande simplement une dernière entrevue avec elle, pour pouvoir nous expliquer. Lors de cette dernière rencontre, elle me confirme que c’est la maman de son mari qui la suivait, et c’est elle qui a tout révélé à son mari.
Il lui a promis de changer, elle veut garder une bonne image de nos relations torrides, elle est bien consciente que cela va être difficile dans sa belle-famille, ou elle va passer pour la belle salope !!!
Voilà, fin de l’histoire avec Catherine, que je vais croiser régulièrement au marché du dimanche matin en compagnie de sa fille, nous nous saluons toujours et quand je croise son regard, il y a toujours une tendresse particulière.
J’ai ensuite déménagé suite à des évolutions de carrière, mais Catherine reste pour moi un excellent souvenir. C’était une belle personne.
Rendez-vous au chapitre 19 pour la traversée du désert affectif et sexuel. (3/4).



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